petite histoire

Tous les seigneurs, chevaliers et paysans des environs avaient eu vent d’un évènement assez rare. Mélanger les un aux autres. On ne distingué les chevaliers ou seigneurs que grâce a leurs montures ou leurs armures, les paysans quant a eux était habillé de guenilles boueuses et avait une odeur assez insupportable.
Ils attendaient, tous, devant le grand escalier de marbre qui mené dans la salle du trône mais en haut de cet escalier une grande porte de chêne et fortifier de plaque de fer était fermé. Ainsi un brouhaha de : « qu’est c’est ce bordel ? » au « Que diable se passe-t-il ici ? » en passant par « mécréant ne touche pas a ma monture ou tu tâteras de mon épée ! ».
Lorsque tout d’un coup le chant d’un cor se fit entendre dans toute la cour du château. Et les portes commencèrent doucement à s’ouvrir. Un jeune homme en sortit l’allure imposante une armure noir au reflet rouge sans et une longue cape cramoisie. L’homme observa quelque instant la foule qui était réuni.
« Seigneur, chevalier et paysans qui êtes réunis ici. Je vous annonce la naissance d’un nouveau roi… »
Toute la populace se regarda sans trop comprendre, puis les seigneurs commencèrent à gronder comme quoi il ne pouvait décidé ceci seul. Le jeune homme dégaina son épée en criant :
« Je suis Azuder descendu en enfer puis revenu pour reprendre de droit les terres de mes ancêtres, que celui qui ne désire pas s’agenouiller devant moi. Viennent ! »

Soudain, un homme fit irruption et descendit les marches qui menait a la salle du trone. Il se mit a parler:
"voyons mes amis, l'heure n'est pas aux querelles, mais a l'entraide!"

-Sur ce, il sortit une Harpe et commença a deverser ce poème sur la foule...

J'attend transi, prostré comme un condamné,
Guettant l'horizon ou se confond un soleil de braise.
Le vent me glisse des mots dans les oreilles,
Me rappelant ma condition d'âme damnée.
Pourtant mon cœur se rebelle et veut y croire.
Mais lorsque je cherche mon reflet,
Dans ce miroir, je ne vois que choses sans intérêts.
C'est alors qu'au coin d'un tournant,
Tel le plus bel ange vêtu de blanc,
Elle marche ver moi tout en souriant.
Au gré de tant de beauté,
Mon cœur comprend alors les mots du vent,
Et en vient même à regretter d'avoir osé espérer.
Je voudrais tant ouvrir ce cœur,
Que l'amour puisse jaillir, illuminant tout le firmament.
Mais je ne puis rien avouer,
De peur de tout briser.
Ma damnation est-elle éternelle, et mon chemin de croix infini ?
En présence de tant de beauté, ou je ne puis qu espérer.
La douleur qui survient ne me fait voir qu une chose,
C'est que je puis encore aimer...